De part sa fonction antiseptique et régénératrice, il constitue un allié thérapeutique dans de multiples infections (respiratoires, gastro-intestinales, cutanées) ainsi que dans les états grippaux, inflammatoires, immunodépressifs et de stress.
Lors de la miellée, les butineuses, attirées par la couleur et l’odeur, visitent les fleurs pour en récolter le nectar situé à la base des pistils. Elles aspirent ce précieux liquide (80% d’eau à ce stade) à l’aide de leur langue pour le transporter dans leur jabot durant le vol. Arrivées à la ruche, elles stockent ce nectar dans l’alvéole de cire. Les ventileuses se mettent en action pour assécher le nectar et le transformer en miel. Pour finir elles ferment les alvéoles avec les opercules de cire pour assurer la conservation.
Dès le début du printemps, nous nous efforçons de sélectionner les meilleures ruches en vue de la production et du maintien de cheptel afin de faire face aux 30% de pertes annuelles de colonies. La transhumance a pour but de répartir les ruches sur des emplacements où l’espèce florale recherchée est très abondante (plusieurs hectares) et où l’exposition est bonne (ensoleillement, température, exposition au vent minime, altitude). Une fois la miellée terminée et le miel operculé, c’est le moment de la récolte. Les hausses enlevées sont transférées à la miellerie pour l’extraction et le conditionnement en fût.
Le miel est principalement composé de sucres naturels (66 à 80 %), dont le fructose et le glucose directement assimilables par l’organisme. Son pouvoir sucrant équivaut à celui du sucre tout en étant moins calorique (300 Kcal/100 g contre 400). Il contient des vitamines (du groupe B et C), des minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium, sodium), différents acides aminés (proline, lysine, acide glutamique, acide aspartique,…)
De part sa fonction antiseptique et régénératrice, il constitue un allié thérapeutique dans de multiples infections (respiratoires, gastro-intestinales, cutanées) ainsi que dans les états grippaux, inflammatoires, immunodépressifs et de stress.
Lors de la miellée, les butineuses, attirées par la couleur et l’odeur, visitent les fleurs pour en récolter le nectar situé à la base des pistils. Elles aspirent ce précieux liquide (80% d’eau à ce stade) à l’aide de leur langue pour le transporter dans leur jabot durant le vol. Arrivées à la ruche, elles stockent ce nectar dans l’alvéole de cire. Les ventileuses se mettent en action pour assécher le nectar et le transformer en miel. Pour finir elles ferment les alvéoles avec les opercules de cire pour assurer la conservation.
Dès le début du printemps, nous nous efforçons de sélectionner les meilleures ruches en vue de la production et du maintien de cheptel afin de faire face aux 30% de pertes annuelles de colonies. La transhumance a pour but de répartir les ruches sur des emplacements où l’espèce florale recherchée est très abondante (plusieurs hectares) et où l’exposition est bonne (ensoleillement, température, exposition au vent minime, altitude). Une fois la miellée terminée et le miel operculé, c’est le moment de la récolte. Les hausses enlevées sont transférées à la miellerie pour l’extraction et le conditionnement en fût.
Le miel est principalement composé de sucres naturels (66 à 80 %), dont le fructose et le glucose directement assimilables par l’organisme. Son pouvoir sucrant équivaut à celui du sucre tout en étant moins calorique (300 Kcal/100 g contre 400). Il contient des vitamines (du groupe B et C), des minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium, sodium), différents acides aminés (proline, lysine, acide glutamique, acide aspartique,…)
De part sa fonction antiseptique et régénératrice, il constitue un allié thérapeutique dans de multiples infections (respiratoires, gastro-intestinales, cutanées) ainsi que dans les états grippaux, inflammatoires, immunodépressifs et de stress.
Lors de la miellée, les butineuses, attirées par la couleur et l’odeur, visitent les fleurs pour en récolter le nectar situé à la base des pistils. Elles aspirent ce précieux liquide (80% d’eau à ce stade) à l’aide de leur langue pour le transporter dans leur jabot durant le vol. Arrivées à la ruche, elles stockent ce nectar dans l’alvéole de cire. Les ventileuses se mettent en action pour assécher le nectar et le transformer en miel. Pour finir elles ferment les alvéoles avec les opercules de cire pour assurer la conservation.
Dès le début du printemps, nous nous efforçons de sélectionner les meilleures ruches en vue de la production et du maintien de cheptel afin de faire face aux 30% de pertes annuelles de colonies. La transhumance a pour but de répartir les ruches sur des emplacements où l’espèce florale recherchée est très abondante (plusieurs hectares) et où l’exposition est bonne (ensoleillement, température, exposition au vent minime, altitude). Une fois la miellée terminée et le miel operculé, c’est le moment de la récolte. Les hausses enlevées sont transférées à la miellerie pour l’extraction et le conditionnement en fût.
Le miel est principalement composé de sucres naturels (66 à 80 %), dont le fructose et le glucose directement assimilables par l’organisme. Son pouvoir sucrant équivaut à celui du sucre tout en étant moins calorique (300 Kcal/100 g contre 400). Il contient des vitamines (du groupe B et C), des minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium, sodium), différents acides aminés (proline, lysine, acide glutamique, acide aspartique,…)
De part sa fonction antiseptique et régénératrice, il constitue un allié thérapeutique dans de multiples infections (respiratoires, gastro-intestinales, cutanées) ainsi que dans les états grippaux, inflammatoires, immunodépressifs et de stress.
Lors de la miellée, les butineuses, attirées par la couleur et l’odeur, visitent les fleurs pour en récolter le nectar situé à la base des pistils. Elles aspirent ce précieux liquide (80% d’eau à ce stade) à l’aide de leur langue pour le transporter dans leur jabot durant le vol. Arrivées à la ruche, elles stockent ce nectar dans l’alvéole de cire. Les ventileuses se mettent en action pour assécher le nectar et le transformer en miel. Pour finir elles ferment les alvéoles avec les opercules de cire pour assurer la conservation.
Dès le début du printemps, nous nous efforçons de sélectionner les meilleures ruches en vue de la production et du maintien de cheptel afin de faire face aux 30% de pertes annuelles de colonies. La transhumance a pour but de répartir les ruches sur des emplacements où l’espèce florale recherchée est très abondante (plusieurs hectares) et où l’exposition est bonne (ensoleillement, température, exposition au vent minime, altitude). Une fois la miellée terminée et le miel operculé, c’est le moment de la récolte. Les hausses enlevées sont transférées à la miellerie pour l’extraction et le conditionnement en fût.
Le miel est principalement composé de sucres naturels (66 à 80 %), dont le fructose et le glucose directement assimilables par l’organisme. Son pouvoir sucrant équivaut à celui du sucre tout en étant moins calorique (300 Kcal/100 g contre 400). Il contient des vitamines (du groupe B et C), des minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium, sodium), différents acides aminés (proline, lysine, acide glutamique, acide aspartique,…)
De part sa fonction antiseptique et régénératrice, il constitue un allié thérapeutique dans de multiples infections (respiratoires, gastro-intestinales, cutanées) ainsi que dans les états grippaux, inflammatoires, immunodépressifs et de stress.
Lors de la miellée, les butineuses, attirées par la couleur et l’odeur, visitent les fleurs pour en récolter le nectar situé à la base des pistils. Elles aspirent ce précieux liquide (80% d’eau à ce stade) à l’aide de leur langue pour le transporter dans leur jabot durant le vol. Arrivées à la ruche, elles stockent ce nectar dans l’alvéole de cire. Les ventileuses se mettent en action pour assécher le nectar et le transformer en miel. Pour finir elles ferment les alvéoles avec les opercules de cire pour assurer la conservation.
Dès le début du printemps, nous nous efforçons de sélectionner les meilleures ruches en vue de la production et du maintien de cheptel afin de faire face aux 30% de pertes annuelles de colonies. La transhumance a pour but de répartir les ruches sur des emplacements où l’espèce florale recherchée est très abondante (plusieurs hectares) et où l’exposition est bonne (ensoleillement, température, exposition au vent minime, altitude). Une fois la miellée terminée et le miel operculé, c’est le moment de la récolte. Les hausses enlevées sont transférées à la miellerie pour l’extraction et le conditionnement en fût.
Le miel est principalement composé de sucres naturels (66 à 80 %), dont le fructose et le glucose directement assimilables par l’organisme. Son pouvoir sucrant équivaut à celui du sucre tout en étant moins calorique (300 Kcal/100 g contre 400). Il contient des vitamines (du groupe B et C), des minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium, sodium), différents acides aminés (proline, lysine, acide glutamique, acide aspartique,…)
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Dès le début du printemps, nous nous efforçons de sélectionner les meilleures ruches en vue de la production et du maintien de cheptel afin de faire face aux 30% de pertes annuelles de colonies. La transhumance a pour but de répartir les ruches sur des emplacements où l’espèce florale recherchée est très abondante (plusieurs hectares) et où l’exposition est bonne (ensoleillement, température, exposition au vent minime, altitude). Une fois la miellée terminée et le miel operculé, c’est le moment de la récolte. Les hausses enlevées sont transférées à la miellerie pour l’extraction et le conditionnement en fût.
Le miel est principalement composé de sucres naturels (66 à 80 %), dont le fructose et le glucose directement assimilables par l’organisme. Son pouvoir sucrant équivaut à celui du sucre tout en étant moins calorique (300 Kcal/100 g contre 400). Il contient des vitamines (du groupe B et C), des minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium, sodium), différents acides aminés (proline, lysine, acide glutamique, acide aspartique,…)
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Lors de la miellée, les butineuses, attirées par la couleur et l’odeur, visitent les fleurs pour en récolter le nectar situé à la base des pistils. Elles aspirent ce précieux liquide (80% d’eau à ce stade) à l’aide de leur langue pour le transporter dans leur jabot durant le vol. Arrivées à la ruche, elles stockent ce nectar dans l’alvéole de cire. Les ventileuses se mettent en action pour assécher le nectar et le transformer en miel. Pour finir elles ferment les alvéoles avec les opercules de cire pour assurer la conservation.
Dès le début du printemps, nous nous efforçons de sélectionner les meilleures ruches en vue de la production et du maintien de cheptel afin de faire face aux 30% de pertes annuelles de colonies. La transhumance a pour but de répartir les ruches sur des emplacements où l’espèce florale recherchée est très abondante (plusieurs hectares) et où l’exposition est bonne (ensoleillement, température, exposition au vent minime, altitude). Une fois la miellée terminée et le miel operculé, c’est le moment de la récolte. Les hausses enlevées sont transférées à la miellerie pour l’extraction et le conditionnement en fût.
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Lors de la miellée, les butineuses, attirées par la couleur et l’odeur, visitent les fleurs pour en récolter le nectar situé à la base des pistils. Elles aspirent ce précieux liquide (80% d’eau à ce stade) à l’aide de leur langue pour le transporter dans leur jabot durant le vol. Arrivées à la ruche, elles stockent ce nectar dans l’alvéole de cire. Les ventileuses se mettent en action pour assécher le nectar et le transformer en miel. Pour finir elles ferment les alvéoles avec les opercules de cire pour assurer la conservation.
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Le miel est principalement composé de sucres naturels (66 à 80 %), dont le fructose et le glucose directement assimilables par l’organisme. Son pouvoir sucrant équivaut à celui du sucre tout en étant moins calorique (300 Kcal/100 g contre 400). Il contient des vitamines (du groupe B et C), des minéraux (potassium, phosphore, calcium, magnésium, sodium), différents acides aminés (proline, lysine, acide glutamique, acide aspartique,…)
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Lors de la miellée, les butineuses, attirées par la couleur et l’odeur, visitent les fleurs pour en récolter le nectar situé à la base des pistils. Elles aspirent ce précieux liquide (80% d’eau à ce stade) à l’aide de leur langue pour le transporter dans leur jabot durant le vol. Arrivées à la ruche, elles stockent ce nectar dans l’alvéole de cire. Les ventileuses se mettent en action pour assécher le nectar et le transformer en miel. Pour finir elles ferment les alvéoles avec les opercules de cire pour assurer la conservation.
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